une lutte sans merci, sans prétention aucune, contre toute forme de mise au pas, pour l'accomplissement de l'individu dans toute sa puissance et son humilité
mardi 29 janvier 2008
La misère hors-la-loi: une honte!!!
On savait déjà que la politique de NS nous faisait faire un bond de plus d'un demi-siècle en arrière...peis de plus d'un siècle avec la remise en cause de la laicité... mais à chaque jour suffit sa peine et maintenant l'enfermement des sdf... ça ne fait pas propre dans le paysage...ça existe déjà dans les quartiers huppés de la capitale, mais là, on en revient à la théorie de l'air corrompu (il n'y avait pas de Karcher) où l'esprit inquisitionnel de la Contre-Réforme avait imposé la distinction entre pauvres légitimes (ceux qui étaient autorisés à faire la manche) et les pauvres illégitimes que l'on condamnait aux galères, à l'exil, à une mort morale...
Il était déjà insupportable que Sarko oublie que les "délinquants" sont avant tout des victimes du système mais là, on atteint des sommets car on fait de ceux qui vivent la misère à chaque minute des hors-la-loi, des délinquants...il n'y a décidément guère de limites à l'abjection!!?
samedi 26 janvier 2008
Bon eh bien, à ceux qui auraient lu le mail sur les impôts de sarko, il s'agissait d'une fausse rumeur, je me posais déjà quelques questions sur la véracité de l'info... Je ne sais pas d'où venait exactement la rumeur mais elle a fait la part belle au roi bouffon ( c'est presque suspect). Ils sont assez armés comme ça ne leur en fournissons pas davantage, ce genre de truc tend à discréditer les prochaines révélations, le temps n'est plus aux hypothèses, les faits sont assez probants...
Ensuite, je suis d'accord avec Balda, le vrai scandale c'est la "dépénélisation du droit des affaires", une justice à deux vitesses annonçée en août lors de la fameuse université d'été du Merdef...http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-823448,36
Ensuite, je suis d'accord avec Balda, le vrai scandale c'est la "dépénélisation du droit des affaires", une justice à deux vitesses annonçée en août lors de la fameuse université d'été du Merdef...http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-823448,36
samedi 19 janvier 2008
Quant au p'tit matin devant le café noir, le noir de la nuit en moi ressurgit, j'ai beau le saturer d'"or blanc" comme dirait E.Galeano et jouer les alchimistes pour trouver quoique ce soit dans le monde de philosophale, je n'ai sous les yeux rien d'autre qu'une vaste nébuleuse, un infini concentré dans une pauvre tasse à café. Il se dégage des volutes bleuâtres chargeant mes yeux mi-clos d'une inextinguible amertume. La bête s'éveille dans le calme rassurant du matin, arraché à la nuit, le jour tremble encore de ces luttes acharnées.
Une avalanche de mots qui ne demandent qu'à se recoucher, un imbroglio de faisceaux m'électrisent les axyomes, me rappellent tout à coup à ma condition d'homme. Je n'ai encore pas plus de vie que cette cuillère plongée dans l'obscure liquide, ce corps qui vient pourtant créer l'illusion et vérifier la physique d'Archimède, exerce une action, crée un mouvement et bouleverse tout un monde en entrant dans l'histoire. Une main vient la saisir machinalement et précipite, par un geste circulaire, cette tornade qui n'a désormais plus rien d'innofensif, comprend dans sa nature même, non pas un désir de révolte, ni même un projet mais une révolte en acte...
Cette main qui a généré ce phénomène c'est la mienne, j'existe et suis responsable autant de mes actes que du monde alentour...
Du café au monde, de l'existence à l'essence, de la bête à l'homme:" Plus claire la lumière, plus sombre l'obscurité... Il est impossible d'apprécier correctement la lumière sans connaître les ténèbres." Sartre
Une avalanche de mots qui ne demandent qu'à se recoucher, un imbroglio de faisceaux m'électrisent les axyomes, me rappellent tout à coup à ma condition d'homme. Je n'ai encore pas plus de vie que cette cuillère plongée dans l'obscure liquide, ce corps qui vient pourtant créer l'illusion et vérifier la physique d'Archimède, exerce une action, crée un mouvement et bouleverse tout un monde en entrant dans l'histoire. Une main vient la saisir machinalement et précipite, par un geste circulaire, cette tornade qui n'a désormais plus rien d'innofensif, comprend dans sa nature même, non pas un désir de révolte, ni même un projet mais une révolte en acte...
Cette main qui a généré ce phénomène c'est la mienne, j'existe et suis responsable autant de mes actes que du monde alentour...
Du café au monde, de l'existence à l'essence, de la bête à l'homme:" Plus claire la lumière, plus sombre l'obscurité... Il est impossible d'apprécier correctement la lumière sans connaître les ténèbres." Sartre
vendredi 18 janvier 2008
samedi 12 janvier 2008
laissez un commentaire
Je trouve étonnant de ne voir aucun commentaire
le compteur doit être bidon...
ne lisez-vous pas les messages?
le compteur doit être bidon...
ne lisez-vous pas les messages?
vendredi 11 janvier 2008
clara rojas libérée!!!
Ah en voilà une vraie bonne nouvelle!!! Chavez a fait un véritable pied-de-nez à Sarko qui croyait encore jouer les justiciers et faire remonter son petit égo dans les sondages...Chavez quant à lui, sans doute très touché par le sort des victimes d'enlèvements et de séquestrations opérés par les FARC, ne l'est pas moins par les disparitions qui ont lieu depuis l'avènement du gouvernement Uribe.
On les voit déjà tous les monomaniaques écraser, avec leurs gros sabots,le chapeau qu'ils viennent de tirer à l'efficacité de Chavez. On les entend déjà dire que s'il a reussi ce n'est pas seulement parce qu'il était en contact avec le chef des Farcs mais parcequ'il est leur complice... en réalité, s'il a réussi, c'est parce qu'il a toujours dénoncé les exactions, les emprisonnement politiques d'opposants, de journalistes, d'avocats... ce même q'uil n'a pas oublié que Uribe est mouillé jusqu'au front avec les groupes para-militaires(AUC= Autodéfenses Unies de Colombie) et les narco-trafiquants
Petit point : Les AUC réunissent des grands propriétaires terriens (qui contrôlent le pouvoir politique local), des trafiquants de drogue qui ont investi leurs bénéfices dans la terre et l’armée. Cette triple alliance allègrement soutenue par les Etats-Unis ( en équipement militaire) avait déjà recours à des escadrons de la mort pour faire le sale boulot, mais là naît au sein des forces armées l’idée de constituer une structure parallèle clandestine permettant de combattre plus efficacement la contestation armée. Dès le départ, ces groupes de mercenaires civils dits d’« autodéfense » s’attaquent également aux paysans accusés d’être au service de la guérilla, et plus largement à toute forme de revendication sociale.Ces groupes agissent encore davantage dans l'impunité depuis la loi "justice et paix" votée en juin 2002...et continuer tranquillement à faire jouer la terreur (massacre sur place publique...) pour que les paysans fuient leurs terres et, ainsi, procéder au vol pur et simple de leurs terres.
Même si l'on ne peut que se rejouir lorsqu'un homme, une femme, un enfant recouvre la liberté, il ne faut pas oublier qui exactement se cache derrière Uribe (en lien direct avec l'armée et donc les para' puisque ce sont souvent les mêmes), ne pas oublier, qui trouve dans les Farcs ce que Sarko a pu trouver das les banlieues? Qui par des pseudos-négociations justifie une politique violemment répressive (3 millions de "réfugiés internes")? Et surtout non pas qui sont les exécutants (20 000 hommes) de tels actes mais qui en sont les véritables commanditaires? et qui est le responsable de la situation de la colombie aujourd'hui?
Ces questions sont d'autant plus épineuses que La colombie demeure,l'oublier serait dramatique, un état militaire, ce qui en l'espèce équivaut aux divers régimes dictatoriaux que nous avons pu connaître en Occident...
NB: Escobar avait beaucoup d'amitié pour Uribe!!!
On les voit déjà tous les monomaniaques écraser, avec leurs gros sabots,le chapeau qu'ils viennent de tirer à l'efficacité de Chavez. On les entend déjà dire que s'il a reussi ce n'est pas seulement parce qu'il était en contact avec le chef des Farcs mais parcequ'il est leur complice... en réalité, s'il a réussi, c'est parce qu'il a toujours dénoncé les exactions, les emprisonnement politiques d'opposants, de journalistes, d'avocats... ce même q'uil n'a pas oublié que Uribe est mouillé jusqu'au front avec les groupes para-militaires(AUC= Autodéfenses Unies de Colombie) et les narco-trafiquants
Petit point : Les AUC réunissent des grands propriétaires terriens (qui contrôlent le pouvoir politique local), des trafiquants de drogue qui ont investi leurs bénéfices dans la terre et l’armée. Cette triple alliance allègrement soutenue par les Etats-Unis ( en équipement militaire) avait déjà recours à des escadrons de la mort pour faire le sale boulot, mais là naît au sein des forces armées l’idée de constituer une structure parallèle clandestine permettant de combattre plus efficacement la contestation armée. Dès le départ, ces groupes de mercenaires civils dits d’« autodéfense » s’attaquent également aux paysans accusés d’être au service de la guérilla, et plus largement à toute forme de revendication sociale.Ces groupes agissent encore davantage dans l'impunité depuis la loi "justice et paix" votée en juin 2002...et continuer tranquillement à faire jouer la terreur (massacre sur place publique...) pour que les paysans fuient leurs terres et, ainsi, procéder au vol pur et simple de leurs terres.
Même si l'on ne peut que se rejouir lorsqu'un homme, une femme, un enfant recouvre la liberté, il ne faut pas oublier qui exactement se cache derrière Uribe (en lien direct avec l'armée et donc les para' puisque ce sont souvent les mêmes), ne pas oublier, qui trouve dans les Farcs ce que Sarko a pu trouver das les banlieues? Qui par des pseudos-négociations justifie une politique violemment répressive (3 millions de "réfugiés internes")? Et surtout non pas qui sont les exécutants (20 000 hommes) de tels actes mais qui en sont les véritables commanditaires? et qui est le responsable de la situation de la colombie aujourd'hui?
Ces questions sont d'autant plus épineuses que La colombie demeure,l'oublier serait dramatique, un état militaire, ce qui en l'espèce équivaut aux divers régimes dictatoriaux que nous avons pu connaître en Occident...
NB: Escobar avait beaucoup d'amitié pour Uribe!!!
mercredi 9 janvier 2008
Une prof en colère!!!
Ras-le-bol de la désinformation généralisée alors je pousse mon coup de gueule et j'explique pourquoi je fais grève demain et pourquoi je vais manifester. Tout ce qui va suivre repose sur des données et des chiffres tirés d'organismes d'états, que nos chers médias – allez savoir pourquoi - taisent.
37,5 annuités pour tous, c'est possible D'abord reprenons l'argent là où il se trouve et mettons fin aux exonérations patronales. On me répondra que dans ce cas, les entreprises vont délocaliser, le problème c'est qu'elles le font déjà après avoir empoché tout un tas d'avantages fiscaux censés les aider à créer des emplois. Autre argument avancé par ceux qui veulent allonger la durée de cotisation : l'allongement de l'espérance de vie qui fait que bientôt il y aura plus de retraités que de salariés. Faux : 1. Les rapports qui préconisaient l'allongement de la durée de cotisation se basaient sur le taux de natalité prévisionnel à la fin des années 80, or ce chiffre est à revoir à la hausse. 2. Certes, il y a plus de retraités qu'en 1945 mais le taux de productivité est nettement plus élevé, donc cela revient à peu près au même. Conclusion : ceux qui veulent modifier le régime des retraites espèrent simplement qu'on se tournera vers les complémentaires privées pour compenser les maigres retraites qui nous attendent avec leurs nouveaux calculs, histoire de faire toujours plus de profits (mais pas pour les retraités, c'est sûr).
Sauvons les services publics.
Prenons l'exemple de l'Education nationale. Par la loi Pécresse, LRU, les IUFM, qui forment (ce n'est pas tout à fait le cas, j'admets qu'il y aurait beaucoup à redire sur cette « formation », mais c'est un autre sujet) les profs une fois obtention du concours, vont être rattachés aux universités désormais autonomes (avec financement privé : qui va financer les facs de Sciences humaines ? Ça ne sert à rien, si ce n'est développer un esprit critique !). Donc, c'est la fin des concours nationaux. Un simple master professionnel suffira pour être prof et, ensuite, les chefs d'établissement décideront qui ils embaucheront. Le concours national, certes, ne garantit pas le fait d'être un bon pédagogue, mais, au moins, il valide des connaissances. Avec la LRU, le prof ne sera plus qu'un gentil éducateur, un gentil animateur de garderies et non plus l'un des piliers de la transmission du Savoir (quel gros mot !)
D'un autre côté se met en place le Socle commun de connaissances. Il s'agit de revoir les programmes à la baisse, au strict minimum. Ce socle est déjà en place dans les écoles primaires. Dans un collège d'une amie, qui accueille quatre écoles primaires, les enseignants, au bout d'un mois, sont capables de repérer quels sont les élèves qui viennent de la seule école qui applique à la lettre ce socle : ils sont totalement à la ramasse par rapport aux autres.
De plus, pour compléter ce socle commun, chaque établissement va être amené à décider ce qu'il va rajouter comme enseignements, cela sera voter au conseil d'administration. Or, jusqu'à présent, cette instance, dans laquelle siègent des parents et des élèves, ne prenait que des décisions administratives. Désormais, elle aura un regard décisionnel dans le contenu pédagogique. Prenons un exemple de ce que cela peut donner (c'est déjà le cas aux États Unis). Imaginons que dans un collège, il existe un groupe important de parents défendant la thèse du créationisme : ils pourront imposer cette vision de la création du monde et refuser qu'on parle du Big Bang. Au final, on le voit bien : finis les programmes nationaux, finis les diplômes nationaux et une école à 36 000 vitesses.
Vous voyez donc que, quand les profs font grève, ce n'est pas uniquement parce qu'ils ne pensent qu'à leur petite personne, c'est surtout pour défendre une certaine idée de l'école républicaine et égalitaire. Or, celle-ci est en danger, peu à peu s'emboîtent les pièces d'un puzzle qui ressemble fortement aux systèmes anglais et américains. Nous sommes à un moment clef : il est encore possible d'empêcher cette démolition mais ce serait bien, que pour une fois, parents, futurs parents, grands-parents se sentent concernés par les mouvements de colère des profs.
Derrière ce noir tableau se cachent l'Europe et son obligation de concurrence libre et non faussée. Pour arrêter cette casse des services publics, sortons de cette Europe économique.
Dernière chose, j'en entends dire : et, voilà, une fois de plus en France, on s'oppose aux changements, aux réformes, à la modernité. Non. Je suis d'accord qu'il y aurait beaucoup de choses à réformer (l'école ne va pas bien, c'est sûr). Mais réformer n'est pas forcément synonyme de progrès. Pour moi, les réformes proposées aujourd'hui sont une remise en cause d'acquis sociaux (et non de privilèges). Nos grands-parents, nos parents se sont battus pour les obtenir. A nous de nous en montrer dignes en poursuivant le combat : sauvons-les. A ceux qui prétendent que ces acquis sont vieux et dépassés parce que le monde a changé, je réponds : la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen date de 1789, est-elle pou autant obsolète ?
37,5 annuités pour tous, c'est possible D'abord reprenons l'argent là où il se trouve et mettons fin aux exonérations patronales. On me répondra que dans ce cas, les entreprises vont délocaliser, le problème c'est qu'elles le font déjà après avoir empoché tout un tas d'avantages fiscaux censés les aider à créer des emplois. Autre argument avancé par ceux qui veulent allonger la durée de cotisation : l'allongement de l'espérance de vie qui fait que bientôt il y aura plus de retraités que de salariés. Faux : 1. Les rapports qui préconisaient l'allongement de la durée de cotisation se basaient sur le taux de natalité prévisionnel à la fin des années 80, or ce chiffre est à revoir à la hausse. 2. Certes, il y a plus de retraités qu'en 1945 mais le taux de productivité est nettement plus élevé, donc cela revient à peu près au même. Conclusion : ceux qui veulent modifier le régime des retraites espèrent simplement qu'on se tournera vers les complémentaires privées pour compenser les maigres retraites qui nous attendent avec leurs nouveaux calculs, histoire de faire toujours plus de profits (mais pas pour les retraités, c'est sûr).
Sauvons les services publics.
Prenons l'exemple de l'Education nationale. Par la loi Pécresse, LRU, les IUFM, qui forment (ce n'est pas tout à fait le cas, j'admets qu'il y aurait beaucoup à redire sur cette « formation », mais c'est un autre sujet) les profs une fois obtention du concours, vont être rattachés aux universités désormais autonomes (avec financement privé : qui va financer les facs de Sciences humaines ? Ça ne sert à rien, si ce n'est développer un esprit critique !). Donc, c'est la fin des concours nationaux. Un simple master professionnel suffira pour être prof et, ensuite, les chefs d'établissement décideront qui ils embaucheront. Le concours national, certes, ne garantit pas le fait d'être un bon pédagogue, mais, au moins, il valide des connaissances. Avec la LRU, le prof ne sera plus qu'un gentil éducateur, un gentil animateur de garderies et non plus l'un des piliers de la transmission du Savoir (quel gros mot !)
D'un autre côté se met en place le Socle commun de connaissances. Il s'agit de revoir les programmes à la baisse, au strict minimum. Ce socle est déjà en place dans les écoles primaires. Dans un collège d'une amie, qui accueille quatre écoles primaires, les enseignants, au bout d'un mois, sont capables de repérer quels sont les élèves qui viennent de la seule école qui applique à la lettre ce socle : ils sont totalement à la ramasse par rapport aux autres.
De plus, pour compléter ce socle commun, chaque établissement va être amené à décider ce qu'il va rajouter comme enseignements, cela sera voter au conseil d'administration. Or, jusqu'à présent, cette instance, dans laquelle siègent des parents et des élèves, ne prenait que des décisions administratives. Désormais, elle aura un regard décisionnel dans le contenu pédagogique. Prenons un exemple de ce que cela peut donner (c'est déjà le cas aux États Unis). Imaginons que dans un collège, il existe un groupe important de parents défendant la thèse du créationisme : ils pourront imposer cette vision de la création du monde et refuser qu'on parle du Big Bang. Au final, on le voit bien : finis les programmes nationaux, finis les diplômes nationaux et une école à 36 000 vitesses.
Vous voyez donc que, quand les profs font grève, ce n'est pas uniquement parce qu'ils ne pensent qu'à leur petite personne, c'est surtout pour défendre une certaine idée de l'école républicaine et égalitaire. Or, celle-ci est en danger, peu à peu s'emboîtent les pièces d'un puzzle qui ressemble fortement aux systèmes anglais et américains. Nous sommes à un moment clef : il est encore possible d'empêcher cette démolition mais ce serait bien, que pour une fois, parents, futurs parents, grands-parents se sentent concernés par les mouvements de colère des profs.
Derrière ce noir tableau se cachent l'Europe et son obligation de concurrence libre et non faussée. Pour arrêter cette casse des services publics, sortons de cette Europe économique.
Dernière chose, j'en entends dire : et, voilà, une fois de plus en France, on s'oppose aux changements, aux réformes, à la modernité. Non. Je suis d'accord qu'il y aurait beaucoup de choses à réformer (l'école ne va pas bien, c'est sûr). Mais réformer n'est pas forcément synonyme de progrès. Pour moi, les réformes proposées aujourd'hui sont une remise en cause d'acquis sociaux (et non de privilèges). Nos grands-parents, nos parents se sont battus pour les obtenir. A nous de nous en montrer dignes en poursuivant le combat : sauvons-les. A ceux qui prétendent que ces acquis sont vieux et dépassés parce que le monde a changé, je réponds : la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen date de 1789, est-elle pou autant obsolète ?
mardi 8 janvier 2008
errare sarkozum est
La fin annoncée des 35 heures en 2008... quoi de surprenant? La droite décomplexée mise sur la transparence, cette même transparence dont se sont gargarisés tous les autocrates du XXème siècle...
"remettre l'homme [d'affaire] au centre de la politique", vous comprenez, les caisses de l'Etat sont vides alors le pouvoir d'achat viendra par le travail, toujours le travail et encore le travail...soyons sérieux deux secondes!!!
La réforme des 35 heures, en dehors de ce que ça représente en tant que régression sociale, un faux problème, travailler plus, toujours plus, et penser moins toujours moins,on assiste là à une déclaration de guerre contre le code du travail, pour être clair: la fin des 35 heures c'est la disparition d'une durée légale du travail, reviendra-t-on aux 40 heures de Blum?! Le salarié travaillera donc plus et gagnera moins puisque ces heures ne seront pas majorées en tant qu'heures supplémentaires!!!
Il ose parler de "révolution" quant à l'interdiction de la pub sur les chaînes publiques et fait ainsi un cadeau de près de 800 millions d'euros à ces potes Bouygues & co, il en arrive presque le bougre à nous faire défendre la pub... il ose qualifier de "ridicule" la crainte de l'appartenance de la presse écrite aux plus grands groupes industriels.
"les cons ça ose tout, c'est même à ça qu'on les r'connaît" M.Audiard.
Il parle de "politique de civilisation" en bon petit bonapartiste (pour faire international) "ah le temps béni des colonies" sans aucune vergogne, j'avoue avoir dans la bouche comme un goût de café foutu de puis 40 ans ,d'effroi et de colère...cette politique du "même pas peur" comme un gamin qui aurait préparé sa conférence de presse dans le grand 8 de chez Mickey...et le comble c'est que c'est moi que ça fait vomir!
"remettre l'homme [d'affaire] au centre de la politique", vous comprenez, les caisses de l'Etat sont vides alors le pouvoir d'achat viendra par le travail, toujours le travail et encore le travail...soyons sérieux deux secondes!!!
La réforme des 35 heures, en dehors de ce que ça représente en tant que régression sociale, un faux problème, travailler plus, toujours plus, et penser moins toujours moins,on assiste là à une déclaration de guerre contre le code du travail, pour être clair: la fin des 35 heures c'est la disparition d'une durée légale du travail, reviendra-t-on aux 40 heures de Blum?! Le salarié travaillera donc plus et gagnera moins puisque ces heures ne seront pas majorées en tant qu'heures supplémentaires!!!
Il ose parler de "révolution" quant à l'interdiction de la pub sur les chaînes publiques et fait ainsi un cadeau de près de 800 millions d'euros à ces potes Bouygues & co, il en arrive presque le bougre à nous faire défendre la pub... il ose qualifier de "ridicule" la crainte de l'appartenance de la presse écrite aux plus grands groupes industriels.
"les cons ça ose tout, c'est même à ça qu'on les r'connaît" M.Audiard.
Il parle de "politique de civilisation" en bon petit bonapartiste (pour faire international) "ah le temps béni des colonies" sans aucune vergogne, j'avoue avoir dans la bouche comme un goût de café foutu de puis 40 ans ,d'effroi et de colère...cette politique du "même pas peur" comme un gamin qui aurait préparé sa conférence de presse dans le grand 8 de chez Mickey...et le comble c'est que c'est moi que ça fait vomir!
lundi 7 janvier 2008
dimanche 6 janvier 2008
Houellebecq, c'est quoi alors?
"J'étais seul au volant de ma Peugeot 104;
Avec la 205 j'aurais eu l'air plus frime.
...
J'avais assez d'essence pour atteindre Francfort"
"A l'angle de la FNAC bouillonnait une foule
Très dense et très cruelle.
Un gros chien mastiquait le corps d'un pigeon blanc.
Plus loin, dans la ruelle,
Une vieille clocharde toute ramassée en boule
Recevait sans mot dire le crachat des enfants."
"Je ne sentais rien au niveau de la pine."!
qui rime avec "Bonjour c'est Amandine."
N'oublions pas ces vers voués probablement à l'immortalité et par lesquels la pensée française se glisse dans l'abîme de la médiocrité. Qui a bien pu couché ces vers sur un papier qui n'avait rien demandé (pas plus que nous... les amoureux de littérature). Quelques vers impérissables qui, en soi, me semblerait un peu être à la poésie ce que Sulitzer est au roman...
Eh oui, derrière cette plume grossière, une plume aussi lourde qu'une enclume se cache un homme qui a bien compris comment vendre ses livres, se vautrant ainsi dans ce qu'il prétend dénoncer...de la provoc' qui n'a plus rien de gratuit
"Prévert est un con", voilà ce que ce mec, a osé dire dans son ouvrage plein d'auto-satisfaction: "intervention"...
Prévert est, selon lui, le poète de la mièvrerie, du bon sentiment il explique: "l'intelligence n'aide pas à écrire de bons vers mais elle peut éviter d'en écrire de mauvais"...et voilà nous y sommes une phrase vide, issu d'un esprit embrûmé qui voudrait se réclamer d'un Sartre et de son sens de la formule mais qui frôle à l'évidence le contre-sens...
L'auteur de ces vers si puissants qui relèvent bel et bien d'une constipation chronique...sont paradoxe des paradoxes...à chier! Si nous pensons à la phrase d'André Gide: "les bons sentiments ne feront jamais de la bonne littérature", il ne faut pas oublier ce que disait celui-ci de la littérature engagée telle que pouvait l'entendre un prévert:
"Il y a une convention bourgeoise contre laquelle j'ai toujours lutté ; mais osons le dire ici il peut y avoir également une convention communiste. J'estime que toute littérature est en grand péril dès que l'écrivain se voit tenu d'obéir à un mot d'ordre. Que l'art, que la littérature puissent servir la Révolution, cela va sans dire, mais il n'a pas à se préoccuper de la servir. Il ne la sert jamais si bien que quand il se préoccupe uniquement du vrai. La littérature n'a pas à se mettre au service de la Révolution. Une littérature asservie est une littérature avilie, si noble et si légitime que soit la cause qu'elle sert. Mais comme la cause de la vérité se confond dans mon esprit, dans notre esprit, avec celle de la Révolution, l'art en se préoccupant uniquement de la vérité, sert nécessairement la Révolution. Il ne la suit pas, il ne s'y soumet pas ; il ne la reflète pas. Il l'éclaire. C'est ainsi qu'il diffère essentiellement des productions fascistes, hitlériennes qui, elles, répondent à un mot d'ordre puisqu'il ne s'agit pas pour elles de dire la vérité, mais de la couvrir".(compte rendu des écrivains soviétiques à Paris,Oct.1934)
Houellebeck n'a sans doute pas compris la profondeur des textes de prévert qui, avec les mots les plus simples, l'humour de la rue et le sens de l'absurde a fait de son oeuvre (eh oui j'ose le dire) une des plus marquantes du siècle dernier
M.H. se place définitivement dans la lignée de Vargas LLosa qui reprochait à tous les auteurs latino-américains ( notamment J.M.Arguedas) de défendre la cause des indiens au dépend du style...ce qui n'est pas une critique littéraire mais un jugement politique et idéologique, vous en conviendrez!?
Un pseudo-intellectuel définitivement de droite qui tend à faire oublier des textes aussi drôle qu'intelligents comme "le dîner de tête", "quelle connerie la guerre" et tout un théâtre au sein du groupe "Octobre" qui s'inscrit en plein dans une prise de position sûre et radicale tel qu'on en avait besoin dans l'entre-deux guerre...Prévert n'était pas seulement un poète qui "faisait" des vers mais qui sentait la poésie alors que Houellebecq, à mon avis, respire un peu trop le provocateur sans en avoir ni le talent ni le charisme, c'est un vendeur, preuve en est son discours ahurissant sur l'Islam!!!
à bon entendeur...
Avec la 205 j'aurais eu l'air plus frime.
...
J'avais assez d'essence pour atteindre Francfort"
"A l'angle de la FNAC bouillonnait une foule
Très dense et très cruelle.
Un gros chien mastiquait le corps d'un pigeon blanc.
Plus loin, dans la ruelle,
Une vieille clocharde toute ramassée en boule
Recevait sans mot dire le crachat des enfants."
"Je ne sentais rien au niveau de la pine."!
qui rime avec "Bonjour c'est Amandine."
N'oublions pas ces vers voués probablement à l'immortalité et par lesquels la pensée française se glisse dans l'abîme de la médiocrité. Qui a bien pu couché ces vers sur un papier qui n'avait rien demandé (pas plus que nous... les amoureux de littérature). Quelques vers impérissables qui, en soi, me semblerait un peu être à la poésie ce que Sulitzer est au roman...
Eh oui, derrière cette plume grossière, une plume aussi lourde qu'une enclume se cache un homme qui a bien compris comment vendre ses livres, se vautrant ainsi dans ce qu'il prétend dénoncer...de la provoc' qui n'a plus rien de gratuit
"Prévert est un con", voilà ce que ce mec, a osé dire dans son ouvrage plein d'auto-satisfaction: "intervention"...
Prévert est, selon lui, le poète de la mièvrerie, du bon sentiment il explique: "l'intelligence n'aide pas à écrire de bons vers mais elle peut éviter d'en écrire de mauvais"...et voilà nous y sommes une phrase vide, issu d'un esprit embrûmé qui voudrait se réclamer d'un Sartre et de son sens de la formule mais qui frôle à l'évidence le contre-sens...
L'auteur de ces vers si puissants qui relèvent bel et bien d'une constipation chronique...sont paradoxe des paradoxes...à chier! Si nous pensons à la phrase d'André Gide: "les bons sentiments ne feront jamais de la bonne littérature", il ne faut pas oublier ce que disait celui-ci de la littérature engagée telle que pouvait l'entendre un prévert:
"Il y a une convention bourgeoise contre laquelle j'ai toujours lutté ; mais osons le dire ici il peut y avoir également une convention communiste. J'estime que toute littérature est en grand péril dès que l'écrivain se voit tenu d'obéir à un mot d'ordre. Que l'art, que la littérature puissent servir la Révolution, cela va sans dire, mais il n'a pas à se préoccuper de la servir. Il ne la sert jamais si bien que quand il se préoccupe uniquement du vrai. La littérature n'a pas à se mettre au service de la Révolution. Une littérature asservie est une littérature avilie, si noble et si légitime que soit la cause qu'elle sert. Mais comme la cause de la vérité se confond dans mon esprit, dans notre esprit, avec celle de la Révolution, l'art en se préoccupant uniquement de la vérité, sert nécessairement la Révolution. Il ne la suit pas, il ne s'y soumet pas ; il ne la reflète pas. Il l'éclaire. C'est ainsi qu'il diffère essentiellement des productions fascistes, hitlériennes qui, elles, répondent à un mot d'ordre puisqu'il ne s'agit pas pour elles de dire la vérité, mais de la couvrir".(compte rendu des écrivains soviétiques à Paris,Oct.1934)
Houellebeck n'a sans doute pas compris la profondeur des textes de prévert qui, avec les mots les plus simples, l'humour de la rue et le sens de l'absurde a fait de son oeuvre (eh oui j'ose le dire) une des plus marquantes du siècle dernier
M.H. se place définitivement dans la lignée de Vargas LLosa qui reprochait à tous les auteurs latino-américains ( notamment J.M.Arguedas) de défendre la cause des indiens au dépend du style...ce qui n'est pas une critique littéraire mais un jugement politique et idéologique, vous en conviendrez!?
Un pseudo-intellectuel définitivement de droite qui tend à faire oublier des textes aussi drôle qu'intelligents comme "le dîner de tête", "quelle connerie la guerre" et tout un théâtre au sein du groupe "Octobre" qui s'inscrit en plein dans une prise de position sûre et radicale tel qu'on en avait besoin dans l'entre-deux guerre...Prévert n'était pas seulement un poète qui "faisait" des vers mais qui sentait la poésie alors que Houellebecq, à mon avis, respire un peu trop le provocateur sans en avoir ni le talent ni le charisme, c'est un vendeur, preuve en est son discours ahurissant sur l'Islam!!!
à bon entendeur...
samedi 5 janvier 2008
Onfray bien de l'écouter un peu mieux
je sais bien ce que certains pensent déjà, oh...y'en a marre de l'entendre ce populo- philosophe...encore un utopiste révolutionnaire, un matérialiste hédoniste qui va nous servir sa soupe hedoniste libertaire...(quoique je pense que s'il sont sur ce blog c'est peut-être qu'ils n'ont pas encore atteint le point de constipation ultime)
Mais prenons le temps de le lire, de l'écouter, un mec qui a repris l'idée d'une "université populaire" ne peut pas être le dernier des cons, pour s'en convaincre, il suffit de rassembler tout ce qu'il reste en nous d'intelligence, d'envie de comprendre et de lire son analyse dans "la politique du rebelle"..avec l'esprit critique suffisant pour ne pas tomber dans l'adhésion totale et quasi fanatique...
Tout son discours sur ce nouveau rapport au temps "fragmenté", non plus linéaire comme en occident ni cyclique comme en Orient est primordiale...il met en garde contre une nouvelle ère où cette nouvelle géométrie du temps à laquelle le système éducatif (et je ne parle évidemment pas là des enseignants) prépare si mal...
Ensuite, je suis tout à fait d'accord avec le bonhomme lorsqu'il dit que la philosophie ne doit pas complexifier mais bien au contraire simplifier l'appréhension du monde...il dénonce un défaut d'intelligence dans la voie politique et reprend l'idée de Bourdieu sur la nécéssité d'un "intellectuel collectif", en effet, tout est là, la constipation de la pensée procède d'une pathétique foir aux égos.
On peut bien ricaner de son abstention aux présidentielles mais on ne peut décidément pas lui reprocher de ne pas avoir fait un travail de relai de l'information avant les élections...un laxatif homéopathique!
Il faut la formation d'une micro-résistance, d'une coordination des forces pour échapper à cete sempiternelle trahison des gros syndicats que l'on connaît bien, et faire en sorte qu'ils soient totalement dépassés par leurs bases!!!
Il y a quelque chose de profondément humain dans sa démarche, d'employer des mots qu'on trouve pas chez bhl, finkel ou chez d'autres plumes "bankable" qui n'ont de philosophe que le nom.
Il part de sa vie, certes, mais pour arriver au monde dans une approche tragico-philosophique, pour arriver à une pensée hédoniste descendu dans la rue, dans le kebab du coin, dans l'atention que l'on porte à l'autre nous sommes déjà dans le politique, dans l'éthique, dans une philosophie du quotidien (cf Chanfort: "jouir et faire jouir sans faire de mal à autrui, là est toute la morale").
Enfin, ce qu'il manque cruellement aujourd'hui plus que jamais ce sont de vrais espaces de discussion non pas réservés à une sorte d'élite dignes du "grand masturbateur" de Dali...mais des lieux, des supports où certaines brèves de comptoirs, écrasées (à la place désormais des mégots) sur tous les zincs du monde et dont l'intelligence peut être d'une fulgurance inouie, trouvent un écho dans un forum de penseurs et de discours enfin expulsés des doctrines.
Mais prenons le temps de le lire, de l'écouter, un mec qui a repris l'idée d'une "université populaire" ne peut pas être le dernier des cons, pour s'en convaincre, il suffit de rassembler tout ce qu'il reste en nous d'intelligence, d'envie de comprendre et de lire son analyse dans "la politique du rebelle"..avec l'esprit critique suffisant pour ne pas tomber dans l'adhésion totale et quasi fanatique...
Tout son discours sur ce nouveau rapport au temps "fragmenté", non plus linéaire comme en occident ni cyclique comme en Orient est primordiale...il met en garde contre une nouvelle ère où cette nouvelle géométrie du temps à laquelle le système éducatif (et je ne parle évidemment pas là des enseignants) prépare si mal...
Ensuite, je suis tout à fait d'accord avec le bonhomme lorsqu'il dit que la philosophie ne doit pas complexifier mais bien au contraire simplifier l'appréhension du monde...il dénonce un défaut d'intelligence dans la voie politique et reprend l'idée de Bourdieu sur la nécéssité d'un "intellectuel collectif", en effet, tout est là, la constipation de la pensée procède d'une pathétique foir aux égos.
On peut bien ricaner de son abstention aux présidentielles mais on ne peut décidément pas lui reprocher de ne pas avoir fait un travail de relai de l'information avant les élections...un laxatif homéopathique!
Il faut la formation d'une micro-résistance, d'une coordination des forces pour échapper à cete sempiternelle trahison des gros syndicats que l'on connaît bien, et faire en sorte qu'ils soient totalement dépassés par leurs bases!!!
Il y a quelque chose de profondément humain dans sa démarche, d'employer des mots qu'on trouve pas chez bhl, finkel ou chez d'autres plumes "bankable" qui n'ont de philosophe que le nom.
Il part de sa vie, certes, mais pour arriver au monde dans une approche tragico-philosophique, pour arriver à une pensée hédoniste descendu dans la rue, dans le kebab du coin, dans l'atention que l'on porte à l'autre nous sommes déjà dans le politique, dans l'éthique, dans une philosophie du quotidien (cf Chanfort: "jouir et faire jouir sans faire de mal à autrui, là est toute la morale").
Enfin, ce qu'il manque cruellement aujourd'hui plus que jamais ce sont de vrais espaces de discussion non pas réservés à une sorte d'élite dignes du "grand masturbateur" de Dali...mais des lieux, des supports où certaines brèves de comptoirs, écrasées (à la place désormais des mégots) sur tous les zincs du monde et dont l'intelligence peut être d'une fulgurance inouie, trouvent un écho dans un forum de penseurs et de discours enfin expulsés des doctrines.
Inscription à :
Articles (Atom)